Publié le : 17 octobre 20193 mins de lecture

La pratique d’un sport est recommandée par les médecins afin de rester en bonne santé. Au lieu de jouer au football ou basketball, pourquoi ne pas opter pour une discipline où les sensations fortes se mélangent avec le plaisir tout court ? Il s’agit du landkite.

Présentation du landkite

Le landkite est un mot anglophone qui désigne les sports de traction terrestre, à l’instar du kite-buggy et du kite mountainboard. Ces disciplines sont nées quasiment en même temps que le kitesurf. Mais à la différence de ce dernier, elles se pratiquent sur terre et avec une aile de traction. D’autre part, au lieu de la traditionnelle planche de kite, on utilise une planche de Mountainboard (MTB). Il s’agit d’une planche à 3 ou 4 roues qui permet de rouler à grande vitesse sur le sable des plages ou de dévaler les pentes des montagnes. Ce qui explique d’ailleurs l’appellation de « kite mountainboard » ou « landkite ».

Sensations fortes garanties

Le landkite s’adresse en premier lieu aux aventuriers et aux amateurs de sensations fortes. En effet, il se pratique aussi bien en bord de mer ou à l’intérieur des terres, en s’aidant de la force du vent pour avancer. Cette disciplinenécessite une planche et des ailes à caissons, dont l’envergure peut atteindre jusqu’à 19 mètres carrés. Il vous faut également un harnais et un casque, étant donné que la sécurité est primordiale pour filer à grande vitesse sur les plages, sur l’herbe des campagnes ou sur les pentes des montagnes. Ce sport est accessible à tous, même aux enfants, sous la supervision des adultes évidemment.

Les différentes variantes du landkite

Même s’il dérive du kitesurf, le landkite commence aujourd’hui à rassembler de plus en plus d’adeptes. Diverses variantes de cette discipline se développent, à mesure que le matériel s’améliore et que les envies des riders grandissent. Il s’agit notamment du freestyle qui connaît un grand succès populaire. L’objectif est de réaliser un maximum de tricks, qu’il s’agisse de « new school » ou d’ « old school ». Ensuite, vous avez le freeride dont le but est de se faire plaisir et de jouer avec l’environnement. Enfin, il y la race ou longue distance. Cette formule est assez similaire à la compétition dans l’univers du char à cerf-volant. Les mountainboarders partent donc d’un point A pour arriver à un point B en passant par un certain nombre de points intermédiaires.